Espaces verts
Les Hameaux de la Roche ont été construit suite au lotissement, dans les années 1960, d’une partie (environ 20 ha) du lieu dit » La Roche du Gros Guillaume » située sur les terres de la ferme du domaine de Trousseau.
Cette réalisation à la fois traditionnelle et moderne est unique en France à cette époque. Des espaces de verdures ouverts, des maisons sans clôtures.
L’association des propriétaires (ASL) possède une commission Espace verts qui veille sur notre patrimoine forestier et conservent, avec les services de nos jardiniers, l’harmonie et le charme de nos espaces verts paysagés.
A Ris-Orangis, Hameaux de la Roche et Turpin sur l’Aunette (1965/1969) ont été construit par la Société générale foncière (voir l’ histoire de Auguste Mione) en collaboration avec l’Architecte : Claude Balick.
(Augusto Mione fonde une nouvelle entreprise, la Construction moderne française (CMF), en 1936 à Paris. Engagé dans l’armée française dés 1939, il vivra de plusieurs longues années en étant prisonnier du fascisme allemand puis italien.
À bientôt 50 ans, Augusto Mione consacre l’énergie de sa liberté retrouvée à son entreprise. Élargie à de nouveaux associés, dont certains anciens militants antifascistes, la CMF connaît une croissance sans précédent, dans le contexte de la Reconstruction et du développement des grands ensembles, à partir du milieu des années 1950.
Au cours de sa carrière, Augusto Mione croise des architectes de renom et participe à de nombreux chantiers, dont les constructions marquent aujourd’hui encore le paysage essonnien : les Hameaux de la Roche et le Turpin sur l’Aunette à Ris-Orangis, le Val d’Yerres…)
Ces deux résidences concilient logements individuels et collectifs : 757 pavillons et 516 logements (21 bâtiments de 6 étages) construits de part et d’autre de la RN 7 (40 ha).)
Les pavillons des hameaux sont édifiés en bandes et en retrait les uns par rapport aux autres.
Les voies sont sinueuses avec des petites places plantées d’arbres.
En 50 ans, les espaces verts de la résidence ont bien changé, désormais la plupart des allées sont ombragées par les grands arbres, de grands espaces de pelouse et de très nombreux arbustes dont les aspects et couleurs saisonnières qui ne cessent de changer, rendent les balades des promeneurs toujours agréables, tout au long de l’année.
En 1965, les premiers habitants s’installent, tout autour d’eux tout est encore en chantier. Les routes n’étaient pas encore goudronnées témoigne une habitante de la première heure de la rue des Églantines, et les pelouses étaient interdites aux enfants. (En 1965, les petites pancartes « pelouse interdites » étaient très répandues, et… les enfants encore plus)
La piscine de la résidence ne sera construite quand 1967.
Voir aussi les derniers articles publiés :